Pause café avec Sarah Herbo, Language Officer

« La traduction, c’est ma vocation »

Sarah travaille chez Apostroph en tant que Language Officer depuis 2021 et apprécie particulièrement la variété inhérente au métier de traductrice. Vous allez découvrir pourquoi, au début, elle a eu le sentiment de devoir se couper en trois chez Apostroph.

Image d'une collaboratrice

Peux-tu nous parler un peu de toi ? Où as-tu grandi ? Pour quelles raisons as-tu souhaité devenir traductrice ? Quelles sont tes racines et qu’as-tu vu du vaste monde?

Je m’appelle Sarah et je suis née et j’ai grandi dans le canton de Fribourg. Enfant déjà, j’étais douée en français : je lisais à cinq ans et en primaire, je créais des grilles de mots croisés pour ma famille. Mon truc, c’était l’orthographe et la poésie en particulier. Plus tard, je me suis rendu compte que j’avais aussi un don pour les langues étrangères. J’ai dès lors opté pour la maturité bilingue en français et en allemand, avant d’étudier la traduction à Genève. J’avais trouvé ma vocation.

Durant mes études, j’ai passé deux mois à Vancouver et trois mois à Berlin. C’était passionnant et je garde beaucoup d’excellents souvenirs de ces séjours.

Comment es-tu arrivée chez Apostroph, et pourquoi y es-tu restée ?

 J’ai découvert Apostroph en 2017, lorsque j’ai commencé à travailler comme freelance. À l’époque, je connaissais aussi Global Translations, qui a rejoint ensuite Apostroph Group.

Global en particulier me confiait régulièrement des mandats et je me suis aussi rendue sur place à Sutz pour un entretien de présentation. J’y ai fait personnellement la connaissance de plusieurs membres de l’équipe Global.

En 2021, j’étais à la recherche d’un nouvel emploi. Quand j’ai appris qu’un poste de Language Officer était vacant chez Apostroph, j’ai aussitôt posé ma candidature car la description du poste me paraissait très intéressante. Et j’ai eu la chance d’être engagée.

Ma fonction me plaît énormément : Apostroph est une entreprise dynamique et complètement dans l’air du temps. Les outils sont à la pointe, les conditions de travail, au goût du jour, et mes collègues et ma supérieure, extrêmement sympathiques.

 

Quelles sont tes langues de travail et tes spécialités ? Quel genre de textes traduis-tu ?

Je travaille surtout dans la combinaison allemand-français et plus rarement anglais-français. Je traduis en fait presque tout ce qu’il est possible de traduire, et j’adore cela. J’aime la diversité, je trouve cela passionnant et stimulant.

 

Qu’est-ce qui te passionne dans le domaine des langues et de la traduction ?

J’aime l’idée que les langues nous ouvrent les portes du monde entier, ainsi que des cultures et modes de vie les plus divers. Je suis toujours heureuse de constater, à la fin de la journée, que grâce à mon travail, des gens peuvent prendre leurs médicaments sans risque, réserver un voyage ou ouvrir un compte bancaire. Je trouve aussi très motivant de savoir que mes traductions font connaître des manifestations « régionales » à un public plus large de langue étrangère.

 

Quels sont les derniers projets et sujets à t’avoir particulièrement interpellée ou enthousiasmée ?

J’aime particulièrement les projets dans le domaine touristique pour le compte de clients opérant dans l’hôtellerie et le transport. Tout le défi consiste à rendre les textes les plus attrayants possible afin d’en maximiser l’impact publicitaire et à se mettre à la place des clientes et des clients en tant que traductrice.

 

Le matin, qu’est-ce qui te met de particulièrement bonne humeur lorsque tu penses à ton programme de la journée ?

Ce que je préfère, ce sont les expertises impartiales ; je trouve très intéressant de pouvoir jeter un regard objectif sur une traduction existante pour en évaluer la qualité.

 

As-tu une anecdote particulièrement amusante à nous raconter sur ton travail à Apostroph ?

Le plus drôle sans doute est que nous avons trois Sarah dans l’équipe. Au début, quand ma supérieure disait « Il faut que je voie cela avec Sarah » ou « Sarah va s’en occuper » ou lorsqu’une collègue lançait un « Sarah » dans le bureau, je pensais toujours que l’on s’adressait à moi. J’avais toujours cette seconde d’effroi où j’avais l’impression de devoir en faire trois fois plus que la normale et d’être responsable d’une bonne moitié de l’entreprise.

 

Tu es très engagée dans ta vie professionnelle. Comment trouves-tu l’équilibre entre travail, vie privée et loisirs ?

Dès que j’éteins mon ordinateur le soir, je m’en vais promener et je prends aussi du temps pour mon fils, pour jouer avec lui et lui lire des livres. J’aime aussi cuisiner et faire de la pâtisserie. Je peux alors complètement me couper du travail.

 

Quels livres as-tu sur ta table de chevet et quelle musique écoutes-tu quand tu prends ton temps le dimanche matin ?

J’aime surtout lire des histoires vraies. Je trouve le livre en allemand Was dein Lachen verbirgt de Marjorie Waeffler très émouvant. Mais j’adore aussi les thrillers : Le Voisin de Tatiana de Rosnay est particulièrement bien écrit et incroyablement passionnant.

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