Qu’est-ce qui te passionne dans le domaine des langues et de la traduction ?
Pour moi, les langues sont fascinantes. Elles sont vivantes et continuent d'évoluer. Avant, il était par exemple inconcevable de tutoyer son audience dans un texte marketing. Or aujourd’hui, ça se fait de plus en plus.
Le matin, qu’est-ce qui te met particulièrement de bonne humeur lorsque tu penses au programme de la journée ?
Dans notre métier, on sait rarement ce que la journée nous réserve. Mais une cliente reconnaissante que l’on parvient à aider en livrant rapidement une traduction ou en repérant une erreur dans le texte source : en voilà des moments agréables.
As-tu une anecdote particulièrement amusante à nous raconter sur ton travail à Apostroph ?
Une fois, une agence a traduit par erreur la phrase contenue dans le corps de l’e-mail au lieu du message du fichier Word en pièce jointe. Au lieu de dire «Joyeuses fêtes et bonne année», la carte de Noël disait : «Meilleures salutations de Lucerne sous la pluie». Le mandataire a bien sûr reçu des questions de son client sur ce que cela voulait dire ! Heureusement, il a pris ça avec humour.
Tu es très engagée dans ta vie professionnelle. Comment trouves-tu l'équilibre entre travail et loisirs ?
J’aime partir en randonnée sur le Rigi, partager un bon repas au restaurant ou jouer au jass avec des collègues.
Qu’y a-t-il comme livre sur ta table de chevet ? Et quelle musique écoutes-tu quand tu prends ton temps le dimanche matin ?
Je lis en ce moment le roman «Le fond du sac», de l’auteur suisse Plinio Martini. Le dimanche matin, j'écoute du Peter Gabriel, dont je n’ai manqué aucun concert en Suisse pendant ces 30 dernières années.