Quelles sont tes langues de travail et quel genre de textes traduis-tu pour Apostroph?
Je traduis exclusivement de l’allemand vers le français, car c’est la combinaison qui me plaît le mieux et dans laquelle je m’épanouis pleinement. Mes domaines de prédilection sont les textes qui s’adressent au grand public, c’est-à-dire des textes de marketing, des brochures, des publicités, des blogs Internet, etc. J’apprécie tout particulièrement les traductions pour lesquelles je peux faire preuve de créativité. Comme j’ai la chance de parler également le suisse-allemand, j’effectue aussi des traductions à partir des divers dialectes alémaniques (sauf le haut valaisan!).
Comment as-tu rejoint l’équipe d’Apostroph, et depuis combien de temps?
Je travaille avec Apostroph depuis environ trois ans. Comme j’avais envie d’acquérir de nouveaux clients, j’ai découvert l’entreprise en faisant une simple recherche sur Internet. J’ai donc envoyé ma candidature, échangé des courriels avec Luise, réalisé une traduction test, et reçu la confirmation que j’étais intégrée dans le pool de freelances pendant mes vacances d’été. Depuis, je reçois des mandats quasiment quotidiennement!
Quels sont les aspects de la collaboration avec Apostroph qui te plaisent le plus?
J’aime le côté convivial de mes contacts avec les Language Managers, la facilité d’utilisation de la plateforme myFREELANCE et la grande diversité thématique des mandats qui me sont confiés (assurance, santé, télécom, industrie alimentaire, tourisme, etc.).
Quel est le premier mot qui te vient à l’esprit lorsque tu penses à Apostroph? Et pourquoi?
Humain! Dans notre quotidien de traducteurs freelance, tout se passe via Internet. La conséquence en est que l’humain a tendance à passer au second plan. En effet, on doit respecter les délais, être disponible, rapide, ne jamais faire d’erreurs, et surtout: être efficace. Chez Apostroph, j’ai l’impression que les Language Managers n’oublient jamais que nous sommes aussi des personnes, avec une vie privée et d’autres obligations. C’est vraiment très appréciable.
Pourrais-tu nous raconter une expérience cool ou rigolote que tu as vécue au cours de ta carrière de traductrice?
Je n’ai pas un souvenir en particulier, mais j’aime ne jamais savoir ce qui m’attend dans la journée. Je ne connais ni la nature ni la longueur des traductions que je vais recevoir. La routine n’existe donc pas dans mon quotidien! Mais une chose est sûre: j’apprends de nouvelles choses chaque jour. Parfois sur des sujets que je pensais absolument inintéressants – mais l’appétit vient en mangeant! Il m’arrive d’être avec des amis, et d’aborder un sujet de conversation assez pointu sur lequel je sais (malgré moi) beaucoup de choses. On me demande alors «Mais comment sais-tu ça?». Ce à quoi je réponds généralement: «C’est juste que j’ai eu l’occasion de traduire une texte traitant de ce sujet ».
À quoi ressemble une journée type de ton quotidien professionnel?
Je fais attention à avoir un quotidien tout à fait classique. En règle générale, je travaille de 8h à 12h et de 13h à 17h. Il peut bien évidemment y avoir quelques écarts, mais j’essaye de respecter ces horaires, pour que mon activité de traductrice ne prenne pas le pas sur ma vie de famille ou ma vie sociale. C’est d’autant plus important lorsqu’on travaille depuis chez soi. Il m’arrive de travailler un peu le week-end, mais pour la simple raison que je sais que je ne serai pas dérangée.
Si tu pouvais tout recommencer à zéro, suivrais-tu le même parcours professionnel?
Je pense que oui. J’éprouve énormément de plaisir à me confronter à mon bilinguisme chaque jour et à le soigner. Du point de vue linguistique aussi, je n’ai jamais fini d’apprendre. De plus, la flexibilité et la liberté que m’offrent mon activité d’indépendante est une chance inestimable!
As-tu des conseils à donner aux linguistes en herbe ou aux autres freelance qui traduisent pour nous?
Je n’ai pas la prétention de donner des conseils à de jeunes traducteurs, à part éventuellement de ne pas s’éparpiller en proposant plein de combinaisons de langues, car ce n’est pas crédible.
Merci de nous avoir présenté ton parcours, Anya!
Tu souhaitons en savoir plus sur les freelances de notre pool ? As-tu abordé le métier de traducteur/traductrice de la même façon que Anya où as-tu suivi une voie totalement différente ?
Envoie-nous un e-mail à freelance@apostrophgroup.ch.
Et bien sûr, reste à l’affût des prochains entretiens que nous mènerons avec nos freelances au cours des mois à venir.